Bien que la danse puisse être décrite comme une discipline extrêmement épanouissante, les pressions dans ce domaine peuvent survenir de partout et à tout moment. Les pressions peuvent provenir des danseurs eux-mêmes, de leurs pairs et même de leurs professeurs de danse pour diverses raisons. La danse peut être totalement libératrice pour les professionnels comme pour les amateurs. Il est donc regrettable que l'expérience de la danse ne soit pas à 100 % épanouissante pour ceux qui y participent.
Les pressions peuvent prendre de nombreuses formes, comme l'impatience qui accompagne la guérison après une blessure, l'aspiration à la perfection (alors que tout danseur professionnel vous dira qu'il y a toujours quelque chose à améliorer, donc qu'il est impossible d'y parvenir) et la concurrence des autres danseurs en studio. Chacune de ces pressions peut avoir un effet profond sur le danseur et sur sa performance, entravant le plaisir de la danse et la pratique quotidienne de celle-ci.
Les élèves peuvent ne pas s'entendre avec leurs professeurs et ne pas réagir de la manière la plus bénéfique à leur enseignement. Cette limitation peut devenir écrasante dans la tentative de s'améliorer et de réussir dans un environnement qui n'est pas adapté au danseur individuel. Parfois, quelque chose qu'un autre professeur dit à l'improviste peut avoir beaucoup plus de résonance pour un danseur, simplement parce que la correction ou le conseil a été formulé d'une manière différente.
Des pressions similaires de ce type peuvent également se produire à la suite de blessures, en particulier celles qui guérissent plus lentement. L'équilibre entre la rééducation et l'aspiration à retourner en studio peut être inégal et provoquer des perturbations dans le processus de guérison du danseur. Souvent, la mentalité d'un danseur sera de travailler pendant les cours ou la performance quel qu'en soit le prix, « le spectacle doit continuer ». Cependant, ce n'est pas toujours conseillé si cela est préjudiciable à la santé et au bien-être du danseur, et cet état d'esprit est de moins en moins répandu dans l'industrie de la danse.
Pression dans le studio de danse
Bien que la danse puisse être décrite comme une discipline extrêmement épanouissante, les pressions dans ce domaine peuvent survenir de partout et à tout moment. Les pressions peuvent provenir des danseurs eux-mêmes, de leurs pairs et même de leurs professeurs de danse pour diverses raisons. La danse peut être totalement libératrice pour les professionnels comme pour les amateurs. Il est donc regrettable que l'expérience de la danse ne soit pas à 100 % épanouissante pour ceux qui y participent.
Les pressions peuvent prendre de nombreuses formes, comme l'impatience qui accompagne la guérison après une blessure, l'aspiration à la perfection (alors que tout danseur professionnel vous dira qu'il y a toujours quelque chose à améliorer, donc qu'il est impossible d'y parvenir) et la concurrence des autres danseurs en studio. Chacune de ces pressions peut avoir un effet profond sur le danseur et sur sa performance, entravant le plaisir de la danse et la pratique quotidienne de celle-ci.
Les élèves peuvent ne pas s'entendre avec leurs professeurs et ne pas réagir de la manière la plus bénéfique à leur enseignement. Cette limitation peut devenir écrasante dans la tentative de s'améliorer et de réussir dans un environnement qui n'est pas adapté au danseur individuel. Parfois, quelque chose qu'un autre professeur dit à l'improviste peut avoir beaucoup plus de résonance pour un danseur, simplement parce que la correction ou le conseil a été formulé d'une manière différente.
Des pressions similaires de ce type peuvent également se produire à la suite de blessures, en particulier celles qui guérissent plus lentement. L'équilibre entre la rééducation et l'aspiration à retourner en studio peut être inégal et provoquer des perturbations dans le processus de guérison du danseur. Souvent, la mentalité d'un danseur sera de travailler pendant les cours ou la performance quel qu'en soit le prix, « le spectacle doit continuer ». Cependant, ce n'est pas toujours conseillé si cela est préjudiciable à la santé et au bien-être du danseur, et cet état d'esprit est de moins en moins répandu dans l'industrie de la danse.